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En Suisse, plus de la moitié des produits biologiques sont importés de loin. Un paradoxe à l’ère du manger local?
«Le dilemme de l'import», quatrième épisode du podcast «Le ver(t) dans l'assiette?».
DRDes bananes des Îles Canaries; du café du Mexique, du Honduras ou de Tanzanie… Tous ces produits sont bio, mais viennent de loin. En Suisse, la moitié des produits biologiques sont importés. Un paradoxe à l’ère du manger local, durable et de saison? L’agriculture biologique – même lointaine – est-elle davantage respectueuse de l’environnement, de la biodiversité et du vivant si ses produits traversent la planète pour contenter nos estomacs? Qu’est-ce qui vaut mieux: du local aux pesticides ou du bio d’importation?
Dans le quatrième épisode de son immersion, la journaliste et nutritionniste Rachel Richterich est allée poser toutes ces questions à Bio Suisse, dont le cahier des charges sur les produits biologiques d'importation est l'un des plus stricts au monde. Elle est aussi allée à Bonvillars (VD), à la rencontre de Frank Siffert, président de Bio Vaud et fervent opposant aux importations.
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Un podcast de Nous Prod,
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