Tête-à-tête avec la vipère à cornes
Tapie sous le sable du désert, la vipère à cornes ne laisse apparaître que ses pupilles et ses fameuses cornes. Le Romand Julien Regamey est un des rares photographes à avoir pu approcher de près ce reptile mythique, passé maître dans l’art du camouflage.
En pleine tempête de sable dans le désert marocain, cette vipère à cornes s’est dissimulée sous la surface pour se protéger, ne laissant apparaître que des cornes et des yeux. A distance, l’animal est indétectable.
Julien Regamey
En pleine tempête de sable dans le désert marocain, cette vipère à cornes s’est dissimulée sous la surface pour se protéger, ne laissant apparaître que des cornes et des yeux. A distance, l’animal est indétectable.
Julien Regamey
Alors que les grains de sable rebondissent sur ses écailles, le reptile s’approche du photographe et tente de mordre son objectif. Sa gueule grande ouverte laisse apercevoir ses crochets recourbés qui peuvent injecter un venin mortel. Mais si on ne l’approche pas, la vipère à cornes préfère rester discrète et pacifique.
Julien Regamey
Alors que les grains de sable rebondissent sur ses écailles, le reptile s’approche du photographe et tente de mordre son objectif. Sa gueule grande ouverte laisse apercevoir ses crochets recourbés qui peuvent injecter un venin mortel. Mais si on ne l’approche pas, la vipère à cornes préfère rester discrète et pacifique.
Julien Regamey
La vipère à cornes aime les zones désertiques de sable et de cailloux où se trouvent de petits buissons dont elle apprécie la relative fraîcheur.
Julien Regamey
La vipère à cornes aime les zones désertiques de sable et de cailloux où se trouvent de petits buissons dont elle apprécie la relative fraîcheur.
Julien Regamey
Dès les premiers rayons de soleil du matin, elle sort de son abri pour se réchauffer. Lorsque la chaleur grimpe, elle est capable de se déplacer sans poser la totalité de son corps sur le sable. Il est alors très difficile d’interpréter sa trace pour savoir dans quelle direction elle se déplace.
Julien Regamey
Dès les premiers rayons de soleil du matin, elle sort de son abri pour se réchauffer. Lorsque la chaleur grimpe, elle est capable de se déplacer sans poser la totalité de son corps sur le sable. Il est alors très difficile d’interpréter sa trace pour savoir dans quelle direction elle se déplace.
Julien Regamey
Du haut de son rocher, cette vipère tire la langue afin de capter les particules odorantes présentes sur son chemin.
Julien Regamey
Du haut de son rocher, cette vipère tire la langue afin de capter les particules odorantes présentes sur son chemin.
Julien Regamey
Grand observateur du monde animal depuis son plus jeune âge, Julien Regamey est diplômé en herpétologie. Il a également suivi une formation au centre de conservation Siyafunda, dans le parc Kruger, en Afrique du Sud. Photographe autodidacte, il est aussi, depuis 2012, organisateur et guide privé de voyages et safaris à la carte, en Afrique du Sud, au Maroc, en Suisse et en Italie. www.loeil-sauvage-safari-prive.ch
Julien Regamey
Grand observateur du monde animal depuis son plus jeune âge, Julien Regamey est diplômé en herpétologie. Il a également suivi une formation au centre de conservation Siyafunda, dans le parc Kruger, en Afrique du Sud. Photographe autodidacte, il est aussi, depuis 2012, organisateur et guide privé de voyages et safaris à la carte, en Afrique du Sud, au Maroc, en Suisse et en Italie. www.loeil-sauvage-safari-prive.ch
Julien Regamey