Les lauréats du Swiss Press Photo 2023 dans la catégorie «Vie Quotidienne»
Le Swiss Press Photo a révélé ce mercredi 5 avril les lauréats de son édition 2023. Découvrez les images qui ont séduit le jury dans la catégorie «Vie Quotidienne».

Palm Springs? Miami Beach? Non, Genève Plage! La zone de détente au bord du Léman est un paradis estival pour les retraité·e·s. Ici, ils·elles peuvent emménager dans une cabane pendant la saison et passer la journée à jouer, entre autres choses. Selon le photographe, la série d’images retranscrit «une utopie sous forme d’oasis en milieu urbain».
© Karine Bauzin / Swiss Press Photo
Palm Springs? Miami Beach? Non, Genève Plage! La zone de détente au bord du Léman est un paradis estival pour les retraité·e·s. Ici, ils·elles peuvent emménager dans une cabane pendant la saison et passer la journée à jouer, entre autres choses. Selon le photographe, la série d’images retranscrit «une utopie sous forme d’oasis en milieu urbain».
© Karine Bauzin / Swiss Press Photo
Palm Springs? Miami Beach? Non, Genève Plage! La zone de détente au bord du Léman est un paradis estival pour les retraité·e·s. Ici, ils·elles peuvent emménager dans une cabane pendant la saison et passer la journée à jouer, entre autres choses. Selon le photographe, la série d’images retranscrit «une utopie sous forme d’oasis en milieu urbain».
© Karine Bauzin / Swiss Press Photo
Palm Springs? Miami Beach? Non, Genève Plage! La zone de détente au bord du Léman est un paradis estival pour les retraité·e·s. Ici, ils·elles peuvent emménager dans une cabane pendant la saison et passer la journée à jouer, entre autres choses. Selon le photographe, la série d’images retranscrit «une utopie sous forme d’oasis en milieu urbain».
© Karine Bauzin / Swiss Press Photo
Palm Springs? Miami Beach? Non, Genève Plage! La zone de détente au bord du Léman est un paradis estival pour les retraité·e·s. Ici, ils·elles peuvent emménager dans une cabane pendant la saison et passer la journée à jouer, entre autres choses. Selon le photographe, la série d’images retranscrit «une utopie sous forme d’oasis en milieu urbain».
© Karine Bauzin / Swiss Press Photo
Palm Springs? Miami Beach? Non, Genève Plage! La zone de détente au bord du Léman est un paradis estival pour les retraité·e·s. Ici, ils·elles peuvent emménager dans une cabane pendant la saison et passer la journée à jouer, entre autres choses. Selon le photographe, la série d’images retranscrit «une utopie sous forme d’oasis en milieu urbain».
© Karine Bauzin / Swiss Press Photo
Palm Springs? Miami Beach? Non, Genève Plage! La zone de détente au bord du Léman est un paradis estival pour les retraité·e·s. Ici, ils·elles peuvent emménager dans une cabane pendant la saison et passer la journée à jouer, entre autres choses. Selon le photographe, la série d’images retranscrit «une utopie sous forme d’oasis en milieu urbain».
© Karine Bauzin / Swiss Press Photo
Palm Springs? Miami Beach? Non, Genève Plage! La zone de détente au bord du Léman est un paradis estival pour les retraité·e·s. Ici, ils·elles peuvent emménager dans une cabane pendant la saison et passer la journée à jouer, entre autres choses. Selon le photographe, la série d’images retranscrit «une utopie sous forme d’oasis en milieu urbain».
© Karine Bauzin / Swiss Press Photo
Vue d’en haut, la Suisse ressemble par endroits à un tableau, ou comme le décrit le photographe du projet «Vertical View»: «parce que nous ne sommes pas habitués à ce type de perspective, les photographies nous irritent, nous émerveillent et nous laissent perplexes.» La solution à l’énigme: d’anciennes traces de ski ressortent, en été, sur un glacier près des Diablerets, à cause des dépôts de poussière du Sahara.
© Andreas Busslinger / Swiss Press Photo
Vue d’en haut, la Suisse ressemble par endroits à un tableau, ou comme le décrit le photographe du projet «Vertical View»: «parce que nous ne sommes pas habitués à ce type de perspective, les photographies nous irritent, nous émerveillent et nous laissent perplexes.» La solution à l’énigme: d’anciennes traces de ski ressortent, en été, sur un glacier près des Diablerets, à cause des dépôts de poussière du Sahara.
© Andreas Busslinger / Swiss Press Photo
Vue d’en haut, la Suisse ressemble par endroits à un tableau, ou comme le décrit le photographe du projet «Vertical View»: «parce que nous ne sommes pas habitués à ce type de perspective, les photographies nous irritent, nous émerveillent et nous laissent perplexes.» Des troncs d’arbres, ingénieusement disposés sur le lac d’Aegeri, témoignent de l’ancienne pratique du flottage du bois.
© Andreas Busslinger / Swiss Press Photo
Vue d’en haut, la Suisse ressemble par endroits à un tableau, ou comme le décrit le photographe du projet «Vertical View»: «parce que nous ne sommes pas habitués à ce type de perspective, les photographies nous irritent, nous émerveillent et nous laissent perplexes.» Des troncs d’arbres, ingénieusement disposés sur le lac d’Aegeri, témoignent de l’ancienne pratique du flottage du bois.
© Andreas Busslinger / Swiss Press Photo
Vue d’en haut, la Suisse ressemble par endroits à un tableau, ou comme le décrit le photographe du projet «Vertical View»: «parce que nous ne sommes pas habitués à ce type de perspective, les photographies nous irritent, nous émerveillent et nous laissent perplexes.» A Brülisau (AI), le travail de fauchage d’un paysan fait apparaître un ange.
© Andreas Busslinger / Swiss Press Photo
Vue d’en haut, la Suisse ressemble par endroits à un tableau, ou comme le décrit le photographe du projet «Vertical View»: «parce que nous ne sommes pas habitués à ce type de perspective, les photographies nous irritent, nous émerveillent et nous laissent perplexes.» A Brülisau (AI), le travail de fauchage d’un paysan fait apparaître un ange.
© Andreas Busslinger / Swiss Press Photo
Vue d’en haut, la Suisse ressemble par endroits à un tableau, ou comme le décrit le photographe du projet «Vertical View»: «parce que nous ne sommes pas habitués à ce type de perspective, les photographies nous irritent, nous émerveillent et nous laissent perplexes.» A Lichtensteig (SG), on distingue un carrefour à travers la neige.
© Andreas Busslinger / Swiss Press Photo
Vue d’en haut, la Suisse ressemble par endroits à un tableau, ou comme le décrit le photographe du projet «Vertical View»: «parce que nous ne sommes pas habitués à ce type de perspective, les photographies nous irritent, nous émerveillent et nous laissent perplexes.» A Lichtensteig (SG), on distingue un carrefour à travers la neige.
© Andreas Busslinger / Swiss Press Photo
L’association Troll gère une crèche en forêt sur l’Uetliberg zurichois. En été, elle est contrainte de déposer le bilan. Une trentaine de pères et mères récoltent alors 100’000 francs en peu de temps et sauvent cette solution de garde pour enfants en pleine nature. Ils·Elles sont convaincu·e·s que le séjour et les activités en forêt sont bénéfiques pour le développement de leurs enfants. Même – voire plus – lorsqu’il pleut et qu’il y a de la boue: les assistant·e·s maternel·le·s et leurs protégé·e·s prennent du plaisir au grand air.
© Urs Jaudas / Swiss Press Photo
L’association Troll gère une crèche en forêt sur l’Uetliberg zurichois. En été, elle est contrainte de déposer le bilan. Une trentaine de pères et mères récoltent alors 100’000 francs en peu de temps et sauvent cette solution de garde pour enfants en pleine nature. Ils·Elles sont convaincu·e·s que le séjour et les activités en forêt sont bénéfiques pour le développement de leurs enfants. Même – voire plus – lorsqu’il pleut et qu’il y a de la boue: les assistant·e·s maternel·le·s et leurs protégé·e·s prennent du plaisir au grand air.
© Urs Jaudas / Swiss Press Photo
L’association Troll gère une crèche en forêt sur l’Uetliberg zurichois. En été, elle est contrainte de déposer le bilan. Une trentaine de pères et mères récoltent alors 100’000 francs en peu de temps et sauvent cette solution de garde pour enfants en pleine nature. Ils·Elles sont convaincu·e·s que le séjour et les activités en forêt sont bénéfiques pour le développement de leurs enfants. Même – voire plus – lorsqu’il pleut et qu’il y a de la boue: les assistant·e·s maternel·le·s et leurs protégé·e·s prennent du plaisir au grand air.
© Urs Jaudas / Swiss Press Photo
L’association Troll gère une crèche en forêt sur l’Uetliberg zurichois. En été, elle est contrainte de déposer le bilan. Une trentaine de pères et mères récoltent alors 100’000 francs en peu de temps et sauvent cette solution de garde pour enfants en pleine nature. Ils·Elles sont convaincu·e·s que le séjour et les activités en forêt sont bénéfiques pour le développement de leurs enfants. Même – voire plus – lorsqu’il pleut et qu’il y a de la boue: les assistant·e·s maternel·le·s et leurs protégé·e·s prennent du plaisir au grand air.
© Urs Jaudas / Swiss Press Photo
L’association Troll gère une crèche en forêt sur l’Uetliberg zurichois. En été, elle est contrainte de déposer le bilan. Une trentaine de pères et mères récoltent alors 100’000 francs en peu de temps et sauvent cette solution de garde pour enfants en pleine nature. Ils·Elles sont convaincu·e·s que le séjour et les activités en forêt sont bénéfiques pour le développement de leurs enfants. Même – voire plus – lorsqu’il pleut et qu’il y a de la boue: les assistant·e·s maternel·le·s et leurs protégé·e·s prennent du plaisir au grand air.
© Urs Jaudas / Swiss Press Photo
L’association Troll gère une crèche en forêt sur l’Uetliberg zurichois. En été, elle est contrainte de déposer le bilan. Une trentaine de pères et mères récoltent alors 100’000 francs en peu de temps et sauvent cette solution de garde pour enfants en pleine nature. Ils·Elles sont convaincu·e·s que le séjour et les activités en forêt sont bénéfiques pour le développement de leurs enfants. Même – voire plus – lorsqu’il pleut et qu’il y a de la boue: les assistant·e·s maternel·le·s et leurs protégé·e·s prennent du plaisir au grand air.
© Urs Jaudas / Swiss Press Photo