Les lauréats du Swiss Press Photo 2023 dans la catégorie «International»
Le Swiss Press Photo révèle ce mercredi 5 avril les lauréats de son édition 2023. Retour sur les images qui ont séduit le jury dans la catégorie «International».

Le reporter de guerre Alex Kühni a été le témoin des frappes de missiles sur Kharkiv en Ukraine.
© Alex Kühni / Swiss Press Photo
Le reporter de guerre Alex Kühni a été le témoin des frappes de missiles sur Kharkiv en Ukraine.
© Alex Kühni / Swiss Press Photo
En avril, le reporter de guerre Alex Kühni a capturé l’image d’habitant·e·s de Borodjanka devant un immeuble détruit.
© Alex Kühni / Swiss Press Photo
En avril, le reporter de guerre Alex Kühni a capturé l’image d’habitant·e·s de Borodjanka devant un immeuble détruit.
© Alex Kühni / Swiss Press Photo
Le reporter de guerre Alex Kühni a photographié les corps de soldats russes qui, venus poser des mines, ont été surpris par les troupes ukrainiennes.
© Alex Kühni / Swiss Press Photo
Le reporter de guerre Alex Kühni a photographié les corps de soldats russes qui, venus poser des mines, ont été surpris par les troupes ukrainiennes.
© Alex Kühni / Swiss Press Photo
Le reporter de guerre Alex Kühni a photographié l’évacuation des victimes de Butscha et Irpin.
© Alex Kühni / Swiss Press Photo
Le reporter de guerre Alex Kühni a photographié l’évacuation des victimes de Butscha et Irpin.
© Alex Kühni / Swiss Press Photo
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. Vue sur Izyum, ville durement touchée, où 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. Vue sur Izyum, ville durement touchée, où 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. Vue sur Izyum, ville durement touchée, où 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. Vue sur Izyum, ville durement touchée, où 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine: un prédicateur conduit à travers Izyum, une ville durement touchée, où 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine: un prédicateur conduit à travers Izyum, une ville durement touchée, où 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. A Izyum, une ville durement touchée, 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. A Izyum, une ville durement touchée, 400 morts ont été retrouvés dans une fosse commune.
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. Il n’y a ni électricité ni eau dans les bâtiments préfabriqués de Kivsharivka.
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. Il n’y a ni électricité ni eau dans les bâtiments préfabriqués de Kivsharivka.
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. A Kupiansk-Vuzlovy, les tournesols, qui n’ont pas pu être récoltés, se sont fanés (216).
© Dominic Nahr / NZZ
Scènes dans les territoires reconquis à l’est de Kharkiv, avant le premier hiver de la guerre en Ukraine. A Kupiansk-Vuzlovy, les tournesols, qui n’ont pas pu être récoltés, se sont fanés (216).
© Dominic Nahr / NZZ
Entre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press Photo
Entre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press Photo
Entre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press Photo
Entre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press Photo
Entre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press Photo
Entre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press Photo
Entre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press Photo
Entre 1962 et 1971, pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a pulvérisé à partir d’avions de grandes quantités du défoliant Agent Orange afin de révéler des pistes de transport cachées, de supprimer la couverture ennemie, ou de détruire la base alimentaire. Les conséquences ont été dévastatrices alors et continuent de l’être aujourd’hui. L’herbicide hautement toxique s’est transmis aux descendant·e·s des habitant·e·s: des milliers et des milliers de personnes souffrent ainsi de difformités sévères. Pourtant, seuls quelques foyers prennent soin des personnes touchées, comme le Vietnam Friendship Village à Hanoï.
© Roland Schmid / Swiss Press Photo