Au World Dog Show, chaque détail compte. Et les broches en forme de toutou sont des accessoires prisés.
Karine Bauzin
Un bouledogue anglais peu sensible aux encouragements de son propriétaire.
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Le temps est long entre les défilés, l’occasion de remettre un peu d’ordre dans les cages où dorment certains chiens.
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Au championnat du monde, on ne lésine pas sur le matériel. Pas de concours de beauté sans mallette de toilettage de professionnel.
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La compétition est terminée, ces dames reprendront la route dès demain en compagnie de leur meute de lévriers persans.
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Strass et papillotes pour ce petit bichon maltais. En principe, ces papillotes – qui assurent un poil lisse – sont interdites en Suisse.
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Il a fallu des heures et des heures de toilettage pour parvenir à ce résultat. On vous laissera juger.
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Cette éleveuse est venue de Rome avec une ribambelle de schnauzers nains blancs.
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Pour éviter que les longues oreilles de ce lévrier afghan ne trempent dans sa gamelle d’eau, on lui fait porter un bonnet.
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Au centre: un couple de chiens chinois à crête, une race de chiens à peau nue, trottinent en cadence sur le ring d’honneur.
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Deux meutes bien alignées prennent la pose à la remise des prix du «meilleur lot d’élevage».
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Avant de défiler sur l’un des rings de jugement, l’Alsacien Christophe Gebhard s’assure que la robe de Casper est impeccable. Ce terre-neuve de 75 kilos collectionne les titres et les récompenses.
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Une joie non dissimulée pour l’éleveuse valaisanne Andrea Maret. Son champion Hermès, un bouvier bernois âgé de 8 ans, vient d’être sacré «meilleur vétéran mâle» de sa race.
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Dernier coup de brosse pour cet épagneul nain papillon. Pourquoi papillon? Regardez la forme des oreilles.
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