Le lérot ou «bandit masqué» en images
Le lérot, que l'on surnomme aussi «bandit masqué» à cause de ses yeux cerclés de noir jusqu’aux oreilles, doit attirer notre attention. En effet, le rongeur figure désormais sur la Liste rouge mondiale des espèces menacées. Découvrez ce surprenant animal dans son milieu naturel.
Le lérot mesure une quinzaine de centimètres, sans la queue, et pèse de 60 à 140 grammes. Le noir autour de ses yeux, qui lui donne des airs de bandit masqué, le contraste entre le pelage ventral blanc et dorsal gris brun ainsi que la longue queue bicolore à extrémité élargie permettent de l’identifier aisément. Il fait partie d’un groupe de rongeurs anciens (les «Myoxidae») et possède à la fois des incisives pour ronger et des dents pointues de carnassier.
Régis Cavignaux / Naturagency
Le lérot mesure une quinzaine de centimètres, sans la queue, et pèse de 60 à 140 grammes. Le noir autour de ses yeux, qui lui donne des airs de bandit masqué, le contraste entre le pelage ventral blanc et dorsal gris brun ainsi que la longue queue bicolore à extrémité élargie permettent de l’identifier aisément. Il fait partie d’un groupe de rongeurs anciens (les «Myoxidae») et possède à la fois des incisives pour ronger et des dents pointues de carnassier.
Régis Cavignaux / Naturagency
Grâce à sa capacité d’adaptation, le lérot a pu survivre au recul de son habitat traditionnel, les sous-bois, les bosquets et les haies sauvages. Ces milieux disparaissent au profit d’un paysage plus contrasté avec, d’un côté, la prairie et, de l’autre, la forêt. Mais il a trouvé un habitat de substitution dans les paysages cultivés traditionnels avec de grands jardins, des pâturages boisés et les vastes vergers.
(c) Martin Grimm / BIA / Biospho
Grâce à sa capacité d’adaptation, le lérot a pu survivre au recul de son habitat traditionnel, les sous-bois, les bosquets et les haies sauvages. Ces milieux disparaissent au profit d’un paysage plus contrasté avec, d’un côté, la prairie et, de l’autre, la forêt. Mais il a trouvé un habitat de substitution dans les paysages cultivés traditionnels avec de grands jardins, des pâturages boisés et les vastes vergers.
(c) Martin Grimm / BIA / Biospho
A la fois terrestre et arboricole, ce rongeur dort le jour dans un nid caché dans un trou d’arbre, un ancien nid d’oiseau, parfois à même le sol sous une tôle ou à l’intérieur des maisons, où il se réfugiera dans de vieux tissus par exemple.
Klaus Echle / NaturePL
A la fois terrestre et arboricole, ce rongeur dort le jour dans un nid caché dans un trou d’arbre, un ancien nid d’oiseau, parfois à même le sol sous une tôle ou à l’intérieur des maisons, où il se réfugiera dans de vieux tissus par exemple.
Klaus Echle / NaturePL
Le régime alimentaire du lérot comprend des fruits, des baies et des graines diverses, mais aussi des insectes, voire d’autres animaux plus petits que lui.
Klaus Echle / NaturePL
Le régime alimentaire du lérot comprend des fruits, des baies et des graines diverses, mais aussi des insectes, voire d’autres animaux plus petits que lui.
Klaus Echle / NaturePL
C’est dans ce nid douillet, tapissé de mousse, de feuilles, d’herbes et de plumes, que la femelle mettra au monde de quatre à six petits au mois de mai. Le lérot y passera aussi l’hiver en complète léthargie.
Keystone
C’est dans ce nid douillet, tapissé de mousse, de feuilles, d’herbes et de plumes, que la femelle mettra au monde de quatre à six petits au mois de mai. Le lérot y passera aussi l’hiver en complète léthargie.
Keystone
Le lérot mesure une quinzaine de centimètres, sans la queue, et pèse de 60 à 140 grammes. Le noir autour de ses yeux, qui lui donne des airs de bandit masqué, le contraste entre le pelage ventral blanc et dorsal gris brun ainsi que la longue queue bicolore à extrémité élargie permettent de l’identifier aisément. Il fait partie d’un groupe de rongeurs anciens (les «Myoxidae») et possède à la fois des incisives pour ronger et des dents pointues de carnassier.
Klaus Echle / NaturePL
Le lérot mesure une quinzaine de centimètres, sans la queue, et pèse de 60 à 140 grammes. Le noir autour de ses yeux, qui lui donne des airs de bandit masqué, le contraste entre le pelage ventral blanc et dorsal gris brun ainsi que la longue queue bicolore à extrémité élargie permettent de l’identifier aisément. Il fait partie d’un groupe de rongeurs anciens (les «Myoxidae») et possède à la fois des incisives pour ronger et des dents pointues de carnassier.
Klaus Echle / NaturePL
Pour préserver le lérot, qu’elle a élu animal de l’année, Pro Natura assure la protection d’environ 40 réserves de forêt naturelle dans toutes les régions de Suisse. L’association a aussi lancé l’action «Sur les traces du lérot», qui durera jusqu’à octobre 2023. Son but est d’identifier les petits mammifères qui rôdent autour des maisons: le lérot, mais aussi le loir ou le muscardin. Pour y participer, il suffit de bricoler un tunnel à empreintes (un dispositif astucieux et simple pour relever les empreintes des petits mammifères) et de le placer tout près de chez vous. Toutes les informations sur www.pronatura.ch/fr/sur-les-traces-du-lerot.
(c) Jean-Claude Carton / Biospho
Pour préserver le lérot, qu’elle a élu animal de l’année, Pro Natura assure la protection d’environ 40 réserves de forêt naturelle dans toutes les régions de Suisse. L’association a aussi lancé l’action «Sur les traces du lérot», qui durera jusqu’à octobre 2023. Son but est d’identifier les petits mammifères qui rôdent autour des maisons: le lérot, mais aussi le loir ou le muscardin. Pour y participer, il suffit de bricoler un tunnel à empreintes (un dispositif astucieux et simple pour relever les empreintes des petits mammifères) et de le placer tout près de chez vous. Toutes les informations sur www.pronatura.ch/fr/sur-les-traces-du-lerot.
(c) Jean-Claude Carton / Biospho