L'Amérique à genoux contre le racisme

Deux semaines après la mort de l'Afro-Américain George Floyd sous le genou d’un policier blanc à Minneapolis, la colère ne faiblit pas.

12 Photos
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Le 2 juin, dans le centre de Houston (Texas), des cavaliers ouvrent un cortège de 60 000 personnes venues rendre hommage à George Floyd dans sa ville natale.ADREES LATIF
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Le 2 juin, dans le centre de Houston (Texas), des cavaliers ouvrent un cortège de 60 000 personnes venues rendre hommage à George Floyd dans sa ville natale.ADREES LATIF
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Feu. Le 29 mai, quatre jours après le meurtre de George Floyd, des manifestants près d’un bâtiment en flammes à Minneapolis.danny wilcox frazier
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Feu. Le 29 mai, quatre jours après le meurtre de George Floyd, des manifestants près d’un bâtiment en flammes à Minneapolis.danny wilcox frazier
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Actions. Le soulèvement à travers les Etats-Unis est marqué par de nombreux rassemblements pacifiques auxquels participent de nombreuses personnes de couleur blanche, comme ici le 2 juin devant Lafayette Square à Washington.DANIEL SLIM
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Actions. Le soulèvement à travers les Etats-Unis est marqué par de nombreux rassemblements pacifiques auxquels participent de nombreuses personnes de couleur blanche, comme ici le 2 juin devant Lafayette Square à Washington.DANIEL SLIM
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Union. La scène est bouleversante et elle s’est répétée au fil des manifestions. Un policier, ici du Département du shérif du comté de Los Angeles, met le genou à terre pour étreindre un manifestant.David McNew
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Union. La scène est bouleversante et elle s’est répétée au fil des manifestions. Un policier, ici du Département du shérif du comté de Los Angeles, met le genou à terre pour étreindre un manifestant.David McNew
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Soutien. Le 1er juin, le chef de département de la police de New York, Terence Monahan, se joint aux manifestants à Manhattan.John Lamparski / SOPA Ima/SIPA
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Soutien. Le 1er juin, le chef de département de la police de New York, Terence Monahan, se joint aux manifestants à Manhattan.John Lamparski / SOPA Ima/SIPA
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Du jamais-vu. Les policiers adoptent le geste des manifestants, comme ici le 30 mai, à Coral Gables, en Floride. Un geste aussi dénoncé par certains comme étant hypocrite au vu des nombreuses arrestations et violences qui ont eu lieu.Eva Marie Uzcategui
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Du jamais-vu. Les policiers adoptent le geste des manifestants, comme ici le 30 mai, à Coral Gables, en Floride. Un geste aussi dénoncé par certains comme étant hypocrite au vu des nombreuses arrestations et violences qui ont eu lieu.Eva Marie Uzcategui
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Onde de choc. Le slogan «Black Lives Matter» (les vies noires comptent) orne la 16e Rue, axe menant à la Maison-Blanche.CARLOS VILAS DELGADO
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Onde de choc. Le slogan «Black Lives Matter» (les vies noires comptent) orne la 16e Rue, axe menant à la Maison-Blanche.CARLOS VILAS DELGADO
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Slogan. Lorsque, ce 1er juin, Donald Trump brandit une bible et pose devant l’église épiscopale Saint-John, c’est pour rappeler à sa base électorale, largement composée d’évangéliques protestants et de catholiques conservateurs, les valeurs qu’il défend. Celles de la loi et de l’ordre (law and order) face au «chaos».Brendan Smialowski
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Slogan. Lorsque, ce 1er juin, Donald Trump brandit une bible et pose devant l’église épiscopale Saint-John, c’est pour rappeler à sa base électorale, largement composée d’évangéliques protestants et de catholiques conservateurs, les valeurs qu’il défend. Celles de la loi et de l’ordre (law and order) face au «chaos».Brendan Smialowski
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Hommages planétaires. Après avoir inondé les réseaux sociaux, le visage de George Floyd fleurit dans le monde entier. Ici, souligné avec le mot «haki», justice en swahili, dans un bidonville de Nairobi, au Kenya.Brian Inganga
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Hommages planétaires. Après avoir inondé les réseaux sociaux, le visage de George Floyd fleurit dans le monde entier. Ici, souligné avec le mot «haki», justice en swahili, dans un bidonville de Nairobi, au Kenya.Brian Inganga
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Le portrait s'accompagne ici de ses derniers mots devenus slogan, «I can’t breathe» (je ne peux pas respirer), sur les ruines d’une maison de la province d’Idlib, en Syrie.Anadolu Agency
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Le portrait s'accompagne ici de ses derniers mots devenus slogan, «I can’t breathe» (je ne peux pas respirer), sur les ruines d’une maison de la province d’Idlib, en Syrie.Anadolu Agency
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Il orne désormais aussi le Mauerpark de Berlin, prisé de nombreux graffiteurs...Anadolu Agency
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Il orne désormais aussi le Mauerpark de Berlin, prisé de nombreux graffiteurs...Anadolu Agency
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... qui œuvrent aussi par exemple comme ici dans le quartier nord de Manchester, au Royaume-Uni.Christopher Furlong
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... qui œuvrent aussi par exemple comme ici dans le quartier nord de Manchester, au Royaume-Uni.Christopher Furlong