Photographie

Images Vevey, la réalité augmentée

Comment rendre compte de la complexité du monde? «L’illustré» a sélectionné sept photographes qui optent pour une image recomposée, sorte de photo augmentée par le collage. Les images sont à voir jusqu’au 25 septembre à la biennale.

7 Photos
Sergio Pinzòn, Tropicalpinisme

Copier-coller, un cliché tropical d’une banque d’images sur la photographie du bassin de surf à Sion. Le photographe colombien Sergio Pinzón porte son regard ironique sur la Suisse lors d’une résidence artistique à Monthey en 2022.

Sergio Pinzòn, Tropicalpinisme
Sergio Pinzòn, Tropicalpinisme

Copier-coller, un cliché tropical d’une banque d’images sur la photographie du bassin de surf à Sion. Le photographe colombien Sergio Pinzón porte son regard ironique sur la Suisse lors d’une résidence artistique à Monthey en 2022.

Sergio Pinzòn, Tropicalpinisme
Daniel Mayrit_One of Yours

S’incruster dans une image d’actualité, tel un président américain en campagne électorale: l’artiste espagnol Daniel Mayrit s’intéresse à la mise en scène du pouvoir et à la manipulation de l’opinion publique par l’image.

Daniel Mayrit_One of Yours
Daniel Mayrit_One of Yours

S’incruster dans une image d’actualité, tel un président américain en campagne électorale: l’artiste espagnol Daniel Mayrit s’intéresse à la mise en scène du pouvoir et à la manipulation de l’opinion publique par l’image.

Daniel Mayrit_One of Yours
Mahalia Taje Giotto, Existential Boner

Se démultiplier, se superposer, l’artiste Mahalia Taje Giotto formalise sa propre quête identitaire dans cet autoportrait en strates.

Mahalia Taje Giotto, Existential Boner
Mahalia Taje Giotto, Existential Boner

Se démultiplier, se superposer, l’artiste Mahalia Taje Giotto formalise sa propre quête identitaire dans cet autoportrait en strates.

Mahalia Taje Giotto, Existential Boner
Stefanie Moshammer, Each Poison, A Pillow

Assembler les souvenirs, dans une installation de coussins imprimés de moments intimes, permet à l’artiste autrichienne Stefanie Moshammer d’évoquer par touches tendres son passé aux côtés d’une mère malade d’alcool.

Stefanie Moshammer, Each Poison, A Pillow
Stefanie Moshammer, Each Poison, A Pillow

Assembler les souvenirs, dans une installation de coussins imprimés de moments intimes, permet à l’artiste autrichienne Stefanie Moshammer d’évoquer par touches tendres son passé aux côtés d’une mère malade d’alcool.

Stefanie Moshammer, Each Poison, A Pillow
Lebohang Kganye, Staging Memories

Faire surgir comme un pop-up théâtral des saynètes fictives où s’entremêlent la grande et la petite histoire de son pays, c’est le cœur du travail de l’artiste sud-africaine Lebohang Kganye, lauréate du Grand Prix Images Vevey 2021-2022.

Lebohang Kganye, Staging Memories
Lebohang Kganye, Staging Memories

Faire surgir comme un pop-up théâtral des saynètes fictives où s’entremêlent la grande et la petite histoire de son pays, c’est le cœur du travail de l’artiste sud-africaine Lebohang Kganye, lauréate du Grand Prix Images Vevey 2021-2022.

Lebohang Kganye, Staging Memories
Anastasia Samoylova, Breakfasts

Un petit-déjeuner sur un fond de citation offre à l’artiste russo-américaine Anastasia Samoylova l’occasion d’entrer en dialogue avec des images iconiques, ici une photo de l’américain Stephen Shore.

Anastasia Samoylova, Breakfasts
Anastasia Samoylova, Breakfasts

Un petit-déjeuner sur un fond de citation offre à l’artiste russo-américaine Anastasia Samoylova l’occasion d’entrer en dialogue avec des images iconiques, ici une photo de l’américain Stephen Shore.

Anastasia Samoylova, Breakfasts
Gera Artemova, Peaceful Life

Tirer sur le tirage, ou comment introduire la violence et l’imprévisibilité de la guerre dans le cours de la vie ordinaire. L’artiste ukrainienne Gera Artemova thématise la précarité de la paix depuis l’annexion de la Crimée en 2014.

Gera Artemova, Peaceful Life
Gera Artemova, Peaceful Life

Tirer sur le tirage, ou comment introduire la violence et l’imprévisibilité de la guerre dans le cours de la vie ordinaire. L’artiste ukrainienne Gera Artemova thématise la précarité de la paix depuis l’annexion de la Crimée en 2014.

Gera Artemova, Peaceful Life