Clinique tessinoise sous haute tension

Au Tessin, la clinique Moncucco, le plus ancien établissement hospitalier privé de Lugano, a entièrement réorganisé ses services pour accueillir les malades les plus gravement atteints par le Covid-19. Le photographe Didier Ruef s’est glissé parmi les soignants, qui sont jour et nuit au service de leurs patients.

10 Photos
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Devant la clinique, deux infirmiers militaires en tenue de protection complète réceptionnent un malade. Pour faire face à l’urgence, l’armée a été chargée du transport des personnes infectées ou soupçonnées de l’être.© Didier Ruef
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Devant la clinique, deux infirmiers militaires en tenue de protection complète réceptionnent un malade. Pour faire face à l’urgence, l’armée a été chargée du transport des personnes infectées ou soupçonnées de l’être.© Didier Ruef
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A Lugano, devant la porte de la clinique Moncucco, toutes les précautions sont prises pour protéger malades et soignants. Entrée et sortie sont séparées et un membre de la protection civile contrôle que les consignes sont scrupuleusement respectées.© Didier Ruef
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A Lugano, devant la porte de la clinique Moncucco, toutes les précautions sont prises pour protéger malades et soignants. Entrée et sortie sont séparées et un membre de la protection civile contrôle que les consignes sont scrupuleusement respectées.© Didier Ruef
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Passé l’entrée, dans la zone dévolue au tri des patients, ce jeune homme fortement soupçonné d’être atteint du Covid-19 attend son enregistrement. Il sera ensuite conduit au service des urgences, où son état de santé sera évalué par des médecins.© Didier Ruef
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Passé l’entrée, dans la zone dévolue au tri des patients, ce jeune homme fortement soupçonné d’être atteint du Covid-19 attend son enregistrement. Il sera ensuite conduit au service des urgences, où son état de santé sera évalué par des médecins.© Didier Ruef
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Au chevet d’une patiente intubée, l’infirmière tente d’entrer en relation avec la malade en l’appelant par son nom, mais la personne, sous sédatif, ne parvient pas à lui répondre.© Didier Ruef
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Au chevet d’une patiente intubée, l’infirmière tente d’entrer en relation avec la malade en l’appelant par son nom, mais la personne, sous sédatif, ne parvient pas à lui répondre.© Didier Ruef
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Au premier étage de la clinique, dans la salle des soins intensifs réservée aux patients les plus gravement atteints. C’est grâce à cette impressionnante machinerie de ventilateurs et de respirateurs que ces malades sont toujours en vie.© Didier Ruef
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Au premier étage de la clinique, dans la salle des soins intensifs réservée aux patients les plus gravement atteints. C’est grâce à cette impressionnante machinerie de ventilateurs et de respirateurs que ces malades sont toujours en vie.© Didier Ruef
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Pour ménager leurs forces et prévenir l’excitation et la panique, les patients reçoivent des sédatifs à haute dose, ici du Dormicum, qui les maintiennent dans un coma artificiel. Toutes les six heures, les patients sont retournés alternativement sur le dos ou le ventre.© Didier Ruef
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Pour ménager leurs forces et prévenir l’excitation et la panique, les patients reçoivent des sédatifs à haute dose, ici du Dormicum, qui les maintiennent dans un coma artificiel. Toutes les six heures, les patients sont retournés alternativement sur le dos ou le ventre.© Didier Ruef
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A l’entrée des soins intensifs, ce panneau résume l’état de la situation. Y compris l’âge des patients, dont certains sont jeunes, les traitements administrés, le pronostic d’évolution de la maladie. Sous le chiffre 3, le nombre de places disponibles à partir du 25 mars.© Didier Ruef
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A l’entrée des soins intensifs, ce panneau résume l’état de la situation. Y compris l’âge des patients, dont certains sont jeunes, les traitements administrés, le pronostic d’évolution de la maladie. Sous le chiffre 3, le nombre de places disponibles à partir du 25 mars.© Didier Ruef
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Parmi tous les problèmes à gérer, l’évacuation des vêtements et de tout le matériel ayant été en contact avec le virus, qu’il faut placer dans des poubelles spéciales.© Didier Ruef
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Parmi tous les problèmes à gérer, l’évacuation des vêtements et de tout le matériel ayant été en contact avec le virus, qu’il faut placer dans des poubelles spéciales.© Didier Ruef
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Devant l’entrée des soins intensifs, une ligne rouge marque la frontière entre une zone où les soignants évoluent en tenue normale et la zone «sale» (à gauche), où le personnel s’équipe en plus d’une blouse jetable et de lunettes de protection.© Didier Ruef
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Devant l’entrée des soins intensifs, une ligne rouge marque la frontière entre une zone où les soignants évoluent en tenue normale et la zone «sale» (à gauche), où le personnel s’équipe en plus d’une blouse jetable et de lunettes de protection.© Didier Ruef
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Cette infirmière porte un masque en forme de bec de canard qui, un peu comme un masque de plongée, est totalement plaqué sur le visage et empêche ainsi tout contact direct avec l’air extérieur.© Didier Ruef
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Cette infirmière porte un masque en forme de bec de canard qui, un peu comme un masque de plongée, est totalement plaqué sur le visage et empêche ainsi tout contact direct avec l’air extérieur.© Didier Ruef