Chez les Windsor, le dernier arrivé est souvent le plus vulnérable. Et, avec Meghan Markle, enceinte de 6 mois, la presse britannique s’en donne à coeur joie. Pas un jour ne passe sans qu’elle ne se fasse mordre les mollets comme feue Diana dans les années 1980. La belle Américaine, métisse, divorcée, ancienne comédienne de série TV, est jugée capricieuse, autoritaire et dépensière. Et pourtant elle s’adonne avec ferveur à ses devoirs caritatifs et le bon peuple l’adore.
>> Découvrir la galerie de photos «Le baby bump de Meghan»
Harry au régime sec
Mariée à Harry depuis le 19 mai dernier, la belle Californienne a pris ses marques et imposé sa griffe avec assurance. Le prince a été mis au régime sec par ses soins. Meghan la végane lui a fait perdre le goût de la cigarette, de l’alcool, du thé, du café et de la viande. Mais lui a donné, en échange, celui du yoga. On le dit hypnotisé et même soumis.
Côté dépenses, les somptueux vêtements de Meg' font débat. Selon la spécialiste Katie Nichols près d’un million de francs ont été dépensés pour sa garde-robe en une année, ce qui en fait la plus chère du Gotha européen.
Peu diplomate
Fait impardonnable au royaume d’Elizabeth II, Meghan a fait pleurer Kate, sa belle-sœur. Une brouille à propos de la tenue d’enfant d’honneur que la petite Charlotte devait porter lors des noces. Entre la star de Hollywood et la future reine, la complicité à fait place à la rivalité. A tel point que le prince William a lui-même pris ses distances.
«Last but not least», Meghan aurait le don de faire fuir ses collaboratrices. Coup sur coup, elle a perdu Mélissa Touabti, son assistante personnelle, puis l’inspectrice attachée à sa sécurité et enfin Samantha Cohen, secrétaire particulière de son couple.
Meghan peu diplomate dicterait ses ordres dès 5 heures du matin, par SMS ou par mail. Pas étonnant qu’en dehors de son titre de duchesse de Sussex elle ait hérité du sobriquet d’«ouragan».