- Votre premier souvenir de télévision?
- Sarah Constantin: C’est un court métrage Disney, sur une cassette chez mes grands-parents. Ça s’appelait «La petite poule avisée». Je me souviendrai toujours de cette histoire ainsi que de la chanson: «Qui me rendra service, pour planter mon maïs?» Trente ans plus tard, j’ai retrouvé ce dessin animé sur Disney+ et je l’ai montré à ma fille. Ce court métrage date de... 1934! Mais ça amuse toujours les enfants.
- La série que vous avez honte d’avoir aimée?
- Je dois admettre avoir regardé «Plus belle la vie» pendant... pendant trop longtemps! (Rires.) Sans pour autant en avoir vraiment honte. On dira que c’était léger et que ça changeait les idées pendant une vingtaine de minutes.
- Votre présentateur ou présentatrice du téléjournal préféré(e)?
- Jennifer Covo. Je trouve qu’elle fait preuve de courage dans ses interviews politiques, elle va au fond des choses, ne lâche pas le morceau et ne se contente pas de réponses superficielles. C’est appréciable, car plutôt rare.
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- La musique de générique qui vous reste en tête?
- Sans hésiter, le générique de «La casa de papel», avec le grand classique «Bella ciao». J’ai adoré la saison 1. Mes élèves du cycle d’orientation sifflaient ce générique dans les couloirs de l’école, pendant plusieurs semaines, on ne pouvait plus se sortir cette chanson de la tête. En termes de signification, ce chant me plaît, évidemment. C’est un hymne italien de révolte des résistants pendant la Seconde Guerre mondiale.