Au palmarès des personnalités royales les plus populaires, Catherine de Cambridge arrive en quatrième position, selon la plateforme de sondages britannique YouGov. Derrière Elisabeth II et son défunt époux le prince Philip, mort en avril dernier, et son propre époux, le prince William. Bref, celle qui fête ses 40 ans le 9 janvier est devenue une royal à part entière. Pourtant, celle que tout le monde s’obstine à appeler Kate Middleton en a bavé. Ses origines roturières, la vulgarité supposée de ses parents, devenus millionnaires avec leur entreprise de vente d’accessoires de fête, sa patiente (ou pathétique, c’est selon) détermination à attendre que William la demande en mariage, qui lui avait valu le surnom de Waity Katie (Kate qui attend): rien ne lui a été épargné. Après son mariage, elle sera critiquée pour avoir dépensé trop d’argent dans la rénovation des résidences de Kensington et d’Anmer Hall. L’opinion s’adoucit avec la naissance du futur roi, George, en 2013, et la manière dont les Cambridge s’occupent de leurs trois enfants.
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Entre-temps, les Windsor ont dû faire face à la tornade Meghan, qui a emporté le très populaire prince Harry sous les palmiers de Californie. Comparée à sa belle-sœur, Kate est lisse, elle ne prend décidément pas de risques, que ce soit avec ses coiffures ou les causes qu’elle défend. Mais elle est fiable, discrète, élégante. Elle joue son rôle à la perfection: même les rumeurs persistantes d’infidélité de son époux avec Rose Hanbury ne la font pas piper. «Never explain, never complain»: la devise de la reine depuis près de 70 ans. En laquelle, visiblement, Kate, future reine d’Angleterre, a trouvé son modèle.
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