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Spécialisée dans les événements climatiques extrêmes, la Vaudoise Sonia Seneviratne a coordonné le chapitre sur ce thème, publié lundi, pour le sixième rapport du GIEC. La professeure à l’EPFZ le répète: face à l’urgence, il faut absolument passer à un monde décarboné, sans énergies fossiles.
Albertine Bourget
Des scènes apocalyptiques comme celles aperçues en Allemagne lors des inondations de cet été pourraient bien se multiplier dans les années à venir.
Getty ImagesChaleurs extrêmes au Canada mais aussi en Grèce et en Turquie, inondations meurtrières tant en Chine qu’en Belgique et en Allemagne, précipitations intenses en Suisse: ces événements récents sont la dramatique illustration des conclusions du rapport sur les changements climatiques publié lundi, un avant-goût du sixième rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Ces dossiers s’appuient sur les conclusions de scientifiques du monde entier et sont censés servir de base de négociation pour agir, ici pour la prochaine Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP26) prévue à Glasgow en novembre. La Vaudoise Sonia Seneviratne, qui a participé à la rédaction de ce sixième rapport, nous a confié ses craintes, mais aussi ses espoirs pour les années à venir.
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